Salut ths...J'aime bien la référence au "royaliste-proprio débilo..."..en fait, pour résumer les "anti-numériques" (sans les fustiger) ne sont pas reggroupés en une faction unique mais dans un ensemble d'organisation politico-philosophiques..Leurs points de vue sont interessants au meme titre que les autres!!et me serviront dans ma thèse (qui sans etre une thèse de sociologie n'en sera pas moins une thèse de musicologie avec des reflexions de sociologie musicale...voila tout...).
Quant au blog de Bourges, l'ai découvert par un gars du coin un peu impliqué dedans....sans rentrer plus dans les détails..(Je ne pensais pas que ma "petite" phrase citée plus haut ferait couler tant d'encre "numérique"...lol).
Take it easy!! Beryann.
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Effectivement.
Tout récemment dans une réunion, j'ai pu observer des gens pourtant très éloigné du point de vue des "factions" auxquelles elles se disent appartenir se trouver en consensus total autour de certains intérêts communs ... hum non, euh, non, .. comme ils disent déjà eux ...euh ...points de tension ;-)
Je ne comprends toujours pas: "juste pour l'anecdote, certains "réfractaires au numérique" sont politiquement liés aux mouvements libertaires..."
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Slt ths...la remarque est à remettre dans un contexte plus général que j'ai précisé dans le post précédent. Il ne s'agit pas d'une attaque contre des groupuscules philosophico-politiques particuliers: Eux ou d'autres à l'autre bout de l'échiquier idéologique voient dans le numérique une émanation des forces capilatistes à l'assaut de l'univers. Point barre. Cest une remarque "neutre"!. Cordialement.Beryann.
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